Oui, cette transformation biochimique consomme de l'énergie qui se dissipe sous forme de chaleur. Le mélange de molécules produites par la fermentation est ainsi moins calorique que le composé initial. Par exemple, à volume égal, le vin peut être jusqu'à 10% moins calorique que le jus de raisin dont il est issu. Cela est vrai pour la plupart des types de fermentation (lactique, éthylique). Ces réactions ont pour point commun la dégradation d'un substrat organique (sucre, alcool, acide) par des enzymes, des levures, ou des bactéries.

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Texte publié dans la rubrique "Questions&Réponses" du Ça m'intéresse n°392 d'Octobre 2013.

Version initiale:

Oui, car elle génère une perte d’énergie sous forme de chaleur. Ainsi, les molécules produites sont moins caloriques que le composé initial. A volume égal, le vin peut être jusqu'à 10% moins calorique que le jus de raisin dont il est issu. De la même façon, un yaourt sera moins riche que le lait à partir duquel il a été produit. Et ceci est vrai pour la plupart des types de fermentations, réactions ayant pour point commun la dégradation d’un substrat organique (sucre, alcool, acide) par des enzymes microbiennes. Cette énergie peut d’ailleurs être récupérée et employée. C’est ce qui se passe dans les cellules musculaires lors d’une activité physique (fermentation lactique). Mais les produits des fermentations peuvent aussi être recherchés pour eux-mêmes. C’est notamment le cas de l’éthanol, que ce soit pour l’industrie viticole ou pour celle des biocarburants. La fabrication du pain intègre également un processus fermentaire, c’est alors le dégagement de CO2 suscité par la réaction qui est recherché afin de faire lever la pâte.

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 [Perroquets nouveaux-nés]

Cela fait partie d’une tendance évolutive à minimiser la quantité des réserves contenues dans l’oeuf, lequel est énergétiquement coûteux à produire pour la femelle. On parle de nidicoles  pour désigner les oiseaux dont la progéniture vient au monde nue, aveugle, et incapable de se déplacer, donc dépendante des parents pour survivre (perroquets, coucous, pigeons, pics, rapaces, hérons, …). Leur développement s'achèvera dans le nid, grâce à la nourriture apportée par leurs géniteurs, jusqu'à l'apprentissage du vol. Les espèces, moins nombreuses (gallinacés, oies, canards, …), dont les nouveaux-nés sont déjà autonomes, sont dites nidifuges. Ces deux catégories ne sont pas strictes, puisque certains poussins nidicoles peuvent présenter un fin plumage duveteux protecteur, comme c’est le cas chez les cigognes.

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Texte publié sous une forme modifiée dans la rubrique "Questions&Réponses" du Ça m'intéresse n°392 d'Octobre 2013.

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C’est à Cellier, le village où il résidait, qu’a ouvert le 1^er juillet un espace entièrement consacré à la mémoire du célèbre acteur comique. Rassemblés par un couple de Cellariens, des photos de tournage, des interviews de proches, et des souvenirs y sont exposés. Ils retracent le parcours de l’artiste, depuis ses débuts comme pianiste et comédien jusqu’à sa consécration au cinéma, sans négliger des aspects plus intimes comme sa passion pour la culture des roses.

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Texte ayant servi à la rédaction d'une brève publiée dans la rubrique "ça se passe aujourd'hui" du Ça m'intéresse n°391 de Septembre 2013.

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 Enceinte ?...Il y a une application pour ça ! Baptisé MobiUS, le système portatif de l’entreprise Mobisanté se branche directement sur smartphones et tablettes. Il permet de visualiser le bébé dans l’utérus en cours de grossesse, mais aussi les organes. Les images sont directement transférées à un hôpital où des spécialistes établissent un diagnostic. Son prix, oscillant entre 5000 et 6000 €, est très réduit en comparaison des autres systèmes du même type, lesquels dépassent parfois les 75 000 €. Ceci le rend particulièrement intéressant pour toutes les zones insuffisamment équipées. Un seul bémol : sa facilité d’utilisation pourrait faire oublier que multiplier les échographies sur un bébé est dangereux pour sa santé.

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Texte ayant servi à la rédaction d'une brève publiée dans la rubrique "ça se passe aujourd'hui" du Ça m'intéresse n°391 de Septembre 2013.

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VERSION 1

Un couple d’agriculteurs du Minnesota, Bruce et Nelva Lilienthal, a fait en labourant son champ une découverte qui sort de l’ordinaire. Recouverte par les plants de maïs, se trouvait là une météorite de l’âge de  la Terre ! Sa masse de 15 kg, pour une taille réduite de 30 cm, en faisait déjà un rocher peu commun pour notre planète. Une analyse détaillée de sa composition a permis de le classer dans la catégorie des météorites ferreuses. Ces objets célestes sont des fragments issus de la collission entre eux d’astéroïdes, lesquels ont été formés lors de la mise en place du système solaire.

VERSION 2

Bruce et Nelva Lilienthal ont fait une découverte singulière en allant labourer leur champ. Le couple d’agriculteurs du Minnesota y a en effet trouvé une météorite, logée au milieu des plants de maïs. De taille réduite, 30 cm de diamètre pour 5 d’épaisseur, le rocher atteint une masse de 15 kg. L’origine extra-terrestre du rocher a pu être établie grâce à sa teneur élevée en nickel (8%). 

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Textes ayant servi à la rédaction d'une brève publiée dans la rubrique "ça se passe aujourd'hui" du Ça m'intéresse n°391 de Septembre 2013.

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